La jeune femme blesser (pv Miyagi)

Lentement mais sûrement Harada Miyagi ouvris les paupières qu'elle avait closes depuis dieu savais quand. Ankylosée. S'était bel et bien la preuve qu'elle recouvrais enfin ses capacités nerveuses et bien vite une douleur lancinante se fit ressentir au niveau de son flanc gauche. Elle se pencha vers l'avant de manière instinctive et recracha une impressionnante quantité de sang. Ses lorsque ses splendides prunelles vertes eurent le loisir de se poser sur l'effroyable constate du liquide incarnat sur des draps blancs, qu'elle réalisa qu'elle avait quitté les montagnes assassines ou elle avait mal géré ses capacités contre Kabuto.

Kabuto. Ce mot réveilla en elle un orage, une tempête perdue qui s'était éteinte avec la perte de connaissance. Harada releva brusquement la tête pour regarder le désert qui s'étendait par delà le village qu'elle observait depuis sa fenêtre. Merde. Fut le premier mot qui lui vint a l'esprit. À la réflexion elle teint la position que ce genre de langage ne lui seyait pas très bien. Elle eu bien envie de s’énerver et de fracasser de la manière la plus violente du monde tout ce qui lui tombait sous la main mais elle rejeta bien vite cette alternative. Elle avait une façade de femme douce , gaie et pleine de bonne volonté a conserver aux yeux du monde.

Harada regarda l'air doux un jeune médecin qui approchait et lui fit par de son sentiment. Elle était en parfaite santé affirmait-elle et elle devait absolument rentrer chez elle sous peine de gros ennuis, car elle croulait sous le travail. Ses prunelles de jade irradiaient de bonté et de sérénité. Et son sourire aimable ne pus qu'attendrir le soignant. Elle était véritablement pire qu'un serpent. La difficulté était dans le fait que rien dans ce qui émanait de la jeune femme ne semblait menaçant ou même dangereux. Il semblait certes évident qu'elle était extrêmement puissante mais il était impossible de jauger de ses réelles capacités dans la mesure ou elle prenais un plaisir pervers a les cacher a tout un chacun.

Le docteur en charge de sa santé lui affirma qu'elle n'était absolument pas en mesure d'entreprendre pareil voyage et qu'il était dans son intérêt de rester sagement a l’hôpital.
-Écoutes, mon petit bonhomme, je crois que tu ne te rend pas compte de la situation dans laquelle tu te trouves.

habile menace puisque s'en était bel et bien une. En effet, il n'était pas judicieux pour qui que se soit de se mettre la nouvelle Kage a dos. Les villageois eux même auraient témoignés du manque d'humanité dont elle pouvait faire preuve. On lui certifia que ce n'était pas une bonne idée et qu'elle était attendue par le Kazekage en fonction . Il avait a lui parler de choses importantes. Ils le feraient appeler et …
-n'en faites rien. Permettez que je me déplace de moi-même. J'ai besoins d'air frais.

La question de la responsabilité en cas de fuite se posa et elle proposa qu'on l''accompagne de manière a la surveiller. Plan empoisonné. Il était improbable qu'aucun d'entre eux n'arrivent a la retenir au cas ou elle déciderait de se carapater.

[suite à l'académie]