Takai koe [Pv Gaara]

Colère ô colère. Ode secrète que celle qui hantait la nouvelle Otokage. Il fallait arrêter de prendre les gens pour des ânes. Elle n'était pas une marionnette, et savoir qu'elle devais sa survie a un gamin pas encore sevré d'un village dont elle ne reconnaissait pas la valeur réelle, lui filait la nausée ainsi que la singulière envie de retrouver Kabuto et de l'implorer pour qu'il l'achève.
L'humiliation. Avait -sommes toute- enfin un visage. Celui d'un rouquin âgé de même pas seize piches et doté d'un ego qui déplaisait fortement a Harada. Plantée face a lui elle le jaugeai de toute sa hauteur et retenais comme elle le pouvait un rire sarcastique. Son visage fin toujours habillé d'un regard et d'un sourire maternel. Elle dépassait l'adolescent de deux bonnes tête et il semblais si chétif qu'elle semblais être capable de le briser en usant de sa simple force physique.

Comme elle n'était pas une femme stupide, elle se doutait bien que si ses compatriotes des sables l'avaient élevé au rang de kage , s'est qu'il y avait de fortes chance pour qu'il soit plus ou moins doué pour nombre de choses. Et elle n'avait ni l'envie ni le temps d'en juger par elle même. Il lui suffirait de jouer les jeune femmes innocentes si il ignorait qu'elle était Kage ou bien de jouer les bien intentionnée si il le savait. Les choses étaient simple une fois de plus.

S'était Orochimaru qui lui avait tout appris de la manipulation et de l'art de paraître. Elle avait été sur bien des choses la meilleure élève qu'il n'ai jamais eu. Plus qu'une adoration sacro-sainte, la passion qu'elle ressentait pour son maître disparu animait toujours Harada et jamais elle ne la quitterait. Oto deviendrais bien vite la première puissance Shinobi que leur monde n'ai jamais porté. Ils entrerait dans une nouvelle ère dont elle serai la maîtresse. Monde qu'elle offrirait a la mémoire d'Orochimaru Monde quelle bâtirait de ses propres mains peu importe le nombre d'innocent et d'insurgés qu'elle devrais assassiner pour se faire.
- Vous avez demandé a me voir, Kazekage-san?
sa voix de miel enrobant les alentours de la plus délicieuse des manières.

-Oui en effet j'ai demander a vous voir... C'est au sujet de la personne qui vous a mis dans cette état... Est-ce un membre de l'organisation Akatsuki?
à cet instant précis elle sus. Elle sus qu'il savait qui elle était et que de jouer les pauvres ères ne servirait a rien. Il ne semblait pas tant se méfier d'Harada en particulier mais de son titre et de ce qu'il représentait. Être a la tête de la plus grande organisation regroupement de criminel du monde n'était pas donné au premier venu. Et certainement pas a une femme de premier rang.
Il était sur que pour être arriver a tel nivaux Harada avait forcément quelque chose a cacher. Quelque chose qui reverserai nombre de pouvoir. Elle ne s'en vanterai pas , mais Sabaku no Gaara avait raison de se méfier du serpent a sonnette qu'elle était. Ça lui sauverai peu être la vie.

Suna n'était pas sur sa liste des nuisibles a éliminer. Et son existence lui était parfaitement indifférente. Elle les laisserait en paix encore un peu jusqu'à ce qu'ils se rebellent contre ses projets. Ce jours la elle raserai cet endroit de manière définitive et dieu savait que ça la ferai bien marrer. Elle considéra que garder le silence plus longtemps aurait été impolis, elle rejeta dans son dos une longue mèche de cheveux et le fixa avec dédain.
-ça , mon petit, ce ne sont pas vos affaires. Ce qui touche Oto reste a Oto et j’entends bien que les choses restent ainsi.

Elle usa face a lui du Chiyute pour guérir d'elle même les blessures encore ouvertes et montrer par la même occasion de quelle trempe elle était. Elle fit craquer ses doigts effilés et plantât son regard pétillant sur Gaara. Ressentait -il le danger qu'elle représentait ? Elle pouvait capter les émanation de Chakra de son bijuu. Le démon remuait. Pas folle la guêpe. Possédant un instant plus développé que celui des hommes il avait immédiatement perçu la vraie nature de la femme.
- Me laisserez vous rejoindre les miens sans protester ou vais-je devoir prouver que je suis digne de siéger a Oto?
toujours douce sa voix laissa planer le goût de la menace bien menée au dessus de leurs têtes.

-Vous n'avais rien a prouvé si vous êtes Kage c'est pour des bonnes raisons et je ne m'en mêlerais pas d'avantage je veux juste savoir si c'est un membre de l'akatsuki qui vous a mis dans cette état sa me concerne également étant le Kazekage du village du sable sa peux aussi concerné mon village... L'akatsuki cherche les bijuus... Donc si c'est l'akatsuki on aimerais savoir...
trop s'en fut bien plus qu'elle ne toléra supporter. Cette rencontre n'avait rien de formel Harada n'était donc pas dans l'obligation de faire bonne figure. Elle éclata de rire. Le genre de rire dingue qui fait frémir les pires démons de ce monde. Ses prunelles jusque la lumineuses de bonté, irradiaient d'une folie tapageuse, une tempête, un ouragan...quelque chose d'insoutenable.

Elle en vint a s'éventer avec sa main gauche d'une manière qui transpirait le manque de respect le plus évident, mais entendre un enfant lui faire la morale de la sorte la mettait dans un état de rage peu commun. Pas normal même. Et puis elle même n'était pas normale. Folle a lier était le terme le plus juste. S'était pour cette raison là qu'Orochimaru en avait fait son élève et puis sa favorite. Pour sa sociopathie évidente. Déjà enfant , l'ex leader de son avait découvert ce trait de la personnalité d'Harada et l'avait jugé pour le moins intéressant.

Très peu capable d’empathie, la fillette n’opérait pas une grande différence entre un être vivant et une boite en carton. Elle avait elle même ouvert la réflexion jugeant que ce qu'il y avait de chouette avec les boites s'est qu'on pouvait les ouvrir. Il l'avait donc prise sous son aille et elle lui avait fait honneur. Un symbole de cruauté été né. De tous temps Harada avait sus que son maitre si parfait ne la voyait que comme un pion au jeu de go. Mais elle s'en était toujours moqué. Tant qu'elle pouvait être auprés de lui elle pouvait bien n'être rien d'autre qu'une pièce de jeu. Peu lui importait.

-Réfléchissez un peu. Qu'est-ce que je gagne a vous fournir ce genre d'informations ?

Il insistait ! Mais c'est qu'il mordrait l'animal. Des information sur ce traitre ? Par ce qu'elle même n'en avait pas peu être ? Elle qui avait été trahis ? Elle qui l'avait vus grandir. Elle le connaissait par cœur. Que croyaient-ils pouvoir lui apprendre de plus qu'elle ne savait déjà ? Des informations sur Akatsuki ? Orochimaru lui avait confier tout ce qu'il y avait à savoir sur ces derniers. Elle n'avait pas besoin de l'aide de Suna et pour rien au monde elle ne leur aurai cédé quoique se fut.

- c'est bien ce que je dis. Je n'y gagne rien. Que croyez vous m'apprendre sur un gamin que j'ai vus grandir?
elle n'avait pas besoins d'aide et si il l'avait sauvée dans cette idée la, il se mettait le doigt dans l’œil. Elle n'en avait pas la moindre intention et rien ne saurait lui faire changer d'avis. Rien. Ne dépendre de personne était la maxime qui régentait de manière exacte la vie d'Harada Miyagi et ce n'était pas un morveux qui allait la métamorphoser.

Elle jeta sur lui un regard dédaigneux qui si elle ne le disait pas a voix haute signifiait bien « vas téter ta mère et me fait pas chier ». elle croisa les bras et le fusilla du regard. Il commençait a lui pomper l'air d'une manière qu'elle ne pouvait pas décrire. S'était la guerre qu'il voulait ? Par ce que si s'était le cas elle n'aurai aucun scrupule a engager les hostilités contre ce gamin qui la prenait de haut.

-Un conseil petit, baisse d'un ton quand tu t'adresses a tes ainés. Par ce qu'il n'est pas dis que je sois capable d'en accpeter plus venant de toi. pour le coup elle en oubliait même les politesses grivoise qu'elle lui servait depuis le début.

-Désolé je n'ai d'ordre a reçevoir de personne surtout pas d'une femme aussi stupide... Qu'est ce que tu y gagne a rien dire? Tes vraiment stupide et déjà tu n'est pas mon ainée tu doit vraiment être stupide pour croire sa... Peut être que je suis jeune mais je t'égalise largement en caractère... C'est plutôt moi qui devrais rire de ton comportement aussi puéril.. Franchement tu m'ennuie légèrement..

- Ma patience connaît ses limites. Quand on ne sais pas à qui on à affaire on rabat son clapet. A fortiori quant on est encore un enfant qui as besoin de faire ses preuve dans le monde des adultes. S'est toi qui fait preuve de stupidité avec tes actes et paroles inconsidérées. Quel kage prendrait le risque de ramener un inconnu dans son propre village et se tiendrait avec lui de cette manière risquant de se mettre un autre village a dos?
La jeune femme s'était calmée peu a peu et regardait la situation avec un œil nouveau. Certes énervement n'avait pas disparu de son corps, mais son visage et son aura repris leur douceur caractéristique. Elle décroisa les bras. Suna commençais a représenter une source d'ennuis pour elle et elle avait ses propres moyens d'y mettre un terme. Elle ne comprenait pas l'agressivité du jeune homme. Il y avait dés choses qu'on pouvait se permettre de faire et d'autres qui étaient a proscrire lorsqu'on avait pour ambition de devenir un grand Kage.

Elle donnait a voir une parfaite schizophrène : tantôt sérieuse et douce, tantôt brutale et enfantine. De nature très nerveuse et profondément mauvaise qu'elle était s'était une technique quelle avait développer pour désemparer l'adversaire. Tout un chacun s'accordait pour dire qu'elle était une femme imprévisible et terriblement intelligente. On disait même qu'il était gravissime que pareil cerveau ai été mis a disposition de si sombres desseins. Elle se plaisait a dire qu'elle avait eu de la chance de grandir a Oto.
Elle était née sur les terres de Kumo mais avait été repérée à l'age de dix ans pas l'un des sbires d'Orochimaru. Arrachée a sa famille elle était devenue l'une des plus jeunes élève du déserteur. L'une des plus douées aussi. Elle s'était vite détachée des autres pour devenir une tueuse hors pair et sans vergogne. Imaginer qu'elle se trouvait dans un village ennemi pour d'autres rasions qu'un motif diplomatique la rendait malade. Elle soupira doucement et passa une main dans ses longs cheveux. Il n'était pas question de se battre dans l'immédiat.

- Je ne saurai tolérer qu'on interfère dans les démêlés politiques de mon village. Je ne gagne peu être rien a garder le silence sur ces événements mais je n'en gagne pas plus a vous le dire, a la différence que vous risquez de vous mêler d'une affaire qui me concerne particulièrement et je n'ai pas envie de voir d'autres shinobi embusqués sur cette entreprise. Ça compromettrait des années de travail.

Elle s'était exprimée avec une éloquence des plus belle et des mieux organisées. Elle était enfin redevenue cette femme que tout un chacun respectait. Cette personne que de nombreuse personnes avait découverte avec le plus grand étonnement. Calme. Elle dégageait un charisme impressionnant. Harada était une femme imposante et ses prunelles semblaient dotées d'un puissant sortilège d'envoutement.

- et bien j'en suis ravie pour toi. mais je considère que ça ne me concerne pas. ne vous faites pas un ennemi de moi mon Cher Gaara. s'est une terrible erreur que vous auriez tôt fait de regretter.

Des menaces. menaces d'autant plus percutantes qu'elle étaient véridiques et qu'il lui suffirait de quelques heures pour les mettre a exécution. elle garantis a Gaara qu'il ne souhaitait pas en être témoin. Harada décroisa les bras et éclipsa la présence de l'autre Kage. elle se perdis dans ses pensées. ou? a quel moment avait-elle foiré son coup lors de son combat avec Kabuto ?

Elle avait beau tourner et retourner la question dans tous les sens, il manquait un facteur dans l'équation et ça faussait toute la ligne. Qu'avait t-elle oublier ? le premier facteur était le plus important : elle n'avait pas les capacités en médecine de l'adolescent. Le femme restait persuadée que si elle avait eu le quart la balance aurai penché en sa faveur. Elle avait agis de manière inconsidérée et s'était laisser emporter par la colère.Ce flot de rage l'avait rendue prévisible aux yeux de Kabuto qui avait grandis sous le regard acéré du nouveau Leader. il la connaissait hélàs aussi bien qu'elle le connaissait lui.

S'en était révoltant. Elle s'approchât de la fenêtre et regarda le désert a perte de vue. Elle était sacrément loin D'Oto et s'engager seule dans ce désert relevait du suicide le plus élémentaire. Hors elle tenait bien trop a sa personne pour risquer sa vie. d'une part, et d'autre elle avait encore tellement de choses a accomplir avant de pouvoir considérer sa vie comme terminée.

L'heure n'était pas a ces songes. elle revint a la réalité. elle secoua ses cheveux dégageant dans l'air une senteur fruité. Miyagi fit mine de se retourner pour regarder du coin de l'oeil le Kazekage.
- Si vous n'avez pas l'intention de vous montrer moins évasif sur les raisons de ma présence ici, je m'en vais. j'ai à faire.
D'un pas leste, néanmoins gracieux, elle s'avança vers la sortie.

Douce vengeance en perceptive, sans doutes.